samedi, mars 26, 2011

Good morning.

Pour tout dire, je ne me rend pas compte que tu vas partir. Je ne m'imagine pas encore, que dans un mois et demie, tout deviendra flou, et que ce sera le début de la fin. Je me demande comment ca sera; comment on y arrivera. Tu sais, je me vois déja comme une ombre qui ne cessera de penser au vide que tu aura laissé. Je déambulerais lentement, sans voir vraiment où j'irais. J'ai peur de perdre tout mes repères. J'ai peur, de cette sensation, celle de tenir à toi plus qu'à n'importe quoi. Tant pis, je t'attendrais sans relâche, je serais là, toujours. Parce que le goût de nos sentiments est loin d'être éphémère.