dimanche, mai 22, 2011

Demain m'écœure si j'y perds les esquisses de tes sourires.


Je n'ai pas écris depuis ton départ. Mon cahier est resté là bas, et. En réalité je ne trouve pas les mots pour te dire à quel point. Le compte à rebours a commencé sa marche depuis une semaine, et je compte les jours, inlassablement. " Je plante mes ongles dans les jours à en faire saigner la chaire du présent, je voudrais stopper les horloges et toute forme de mouvement. Je voudrais que hors de l'apesanteur tu m'accordes un regard, de ceux qui ont la teinte de l'or du soir. Bientôt l'été, le soleil et la mer, quand je ne vois qu'un grand vide, l'abime et l'amer. " Ce ne sont pas mes mots, je m'y retrouve entièrement. Le temps semble pleurer , niché quelque part au fond de mon cœur, tout me parait dérisoire.